Formation des trous noirs!!!
Le 18/11/2013
Je remercie André d’entrouvrir la porte de son talent. Je vais donc prendre place pour l’écouter.
Le programme est chargé, le grand tableau noir est maculé de formules. J’ouvre grand mes yeux, mais oreilles pour déchiffrer les mots, et les formules... Mais que suis-je venu faire dons cette galère ? Je
constate autour de moi, que tous les visages sont séduits par la démonstration. Je n’y comprends que dal ! Alors je décide donc, de quitter les lieux. A cet instant André m’interpelle, « et
bien Claude ça va pas » Je suis désolé j’ai dû hériter d’un strabisme de cerveau, je pense double et ça me donne le vertige « Mais Claude, les plus naïfs ont aussi le droit de
s’exprimer, si tu es là, ce n’est pas un hasard » Au risque de décevoir toute la salle, la sagesse d’André lui fait dire « viens ! Et explique ton doublon » Avec humilité
je m’approche du grand tableau noir et d’un revers de manche, j’efface tout le programme précédant. Rien que ça !....
J’annonce que personne dans le monde
des hommes, ne connaît ce qui se passe dans l’univers, pourquoi que cette dimension du paranormal orchestré par des cerveaux très outillés, osent influencer le reste du monde ? Pourquoi allons nous chercher à l’extérieur
des réponses, alors que notre intérieur, c’est-à-dire notre système solaire est méconnu ! L’homme se rationnalise avec ses propres outils de recherches, il pense avoir découvert le trou noir dans l’univers
et avec toutes les théories qui le constituent. Il va même chercher dans l’infiniment petit, pour y découvrir de la matière sans masse, il paraît que c’est un endroit pour se « Planck er » !
Cela ne peut être qu’un cerveau, qui à découvert cette ineptie, ça ne peut pas être l’intelligence ! Ceci-dit ; cela occupe le monde et c’est une bonne chose. L’OUTIL artificiel que l’homme
a créé va lui fait perdre la tête.
Revenons-en aux erreurs qui sont dans le programme du savoir conformiste !
D’abord le Bing
bang, le début du début ! Toutes les hypothèses que les hommes ont paramétrées, répondent à leurs attentes. Les scientifiques avec leurs plus grandes technologies, depuis le début du siècle
dernier, sont en déraisons ! Alors par quoi peut-on remplacer cette hypothèse ? Et bien par une autre hypothèse bien sûr !... L’embryon de la pensée de l’homme, passe par l’imaginaire.
Le bing bang ! Quel peut-être son origine ; une explosion ou une implosion ? Pour moi l’explosion ; c’est un court terme, cela ne répondrait pas à la logique. Tendis que l’implosion c’est
pour le long terme, son phénomène de vie est auto généré. J’en conclu donc que, la deuxième version serait à retenir. Le flop implosif remplace le Big-bang. Comment donner vie au flop ? Une vision
simpliste pour bien comprendre. Vous imaginez, prendre un bulleur (jouet d’enfant) ne laissez pas les onze bulles s’en aller de votre esprit. Vous les gérez dans le vide de l’espace comme si elles étaient bloquées. Il
faut donner un ordre de grandeur. Vous allez créer des bulles, de tailles qui vont de la balle de ping-pong au ballon de basket. Entre les deux extrêmes, vous y glisserez les neuf autres bulles, de façon chronologique en volume, et
en respectant bien un écart identique entre les axes verticaux. Au total onze planètes sont alignées devant vous. Pluton, Neptune, Uranus, Saturne, Jupiter, ex_ Mars, ex Terre, ex Vénus, ex_ Mercure et les deux plus
grosses gazeuses, qui formeront le soleil. Alors nous allons analyser une bulle. Une bulle est un concept périphérique sur un centre, c’est-à-dire une sphère. Le centre, est l’acteur principal qui est invisible
et la périphérie visible. A mon avis ce centre subit la pression multiple. Il se passe donc un phénomène physique au centre. Voila une image concrète de visibilité dans une cours d’école. Vous comprendrez
que les onze axes, sont à égale distances et que les volumes sont crescendos si bien que les très grosses bulles vont se fritter au point de se fusionner et de n’en faire qu’une et très grosse. Les périphéries
de ces deux plus grosses bulles vont se heurtées et vont fusionnées. Par contre, les deux centres qui se sont automatiquement opposés en réaction nucléaire, seront en situation de cohabitation dans l’hyper bulle.
C’est le début du principe imagé de notre soleil !
Alors dans l’univers, usons de ce parallèle.
Une planète gazeuse
est le fruit, de l’énergie du vide en mouvement dans l’univers. Cette planète, contrairement à une bulle, elle a un centre matière et une périphérie sphérique invisible. La pression du vide qui s’exerce
sur cette sphère, va provoquer un centre nucléaire composé du vide. Donc le produit du vide se retrouve dans ce centre. Voila comment j’imagine une planète. Ce vide serait une convergence, en pôle attracteur pour
une impasse vers une infinie matière !
Le phénomène soleil : Les deux plus grosses planètes du système vont provoquer un épicentre dans la mécanique céleste.
Avant leur flop ces deux planètes possédaient chacune un noyau nucléaire proportionnel à leur dimension gigantesque en gaz. Le flop on peut dire que c’est un gentil big-bang. Les périphéries vont se collisionner
sans grandes difficultés, mais les noyaux nucléaires vont se violenter et engager un conflit perpétuel. Je ne rentre pas dans le phénomène scientifique de la molécule, je ne possède aucun niveau dans ce domaine.
Comme je vous le disais à l’instant, que les planètes gazeuses possèdent, un noyau de vide (notre cerveau a beaucoup de difficulté, pour accepter cette situation) elles possèdent une vie identitaire qui est «
Un » aussi comme le soleil, mais stérile. Elles auront le rôle de tamponner les effets de distorsions de notre l’univers.
Alors pourquoi il y a-t-il quatre planètes telluriques
en proche périphérie du soleil ? Je nomme ; Mercure ; à distance de cinquante millions de kilomètres.
Vénus ;
à cent millions de kilomètres.
La Terre ; à cent cinquante millions de kilomètres.
Mars ; à deux cent cinquante millions de kilomètres.
Ces quatre planètes avec chacune leur noyau de vide (nucléaire)
Le phénomène soleil va rentrer dans la logique d’une réponse, par les deux noyaux, qui vont le constituer.
Comment je vois un vide ? D’abord il faut lui donner vie, sans cette
vision ce cours va s’arrêter !
Dans l’univers les vides centralisent pour créer des noyaux. Sur Terre le phénomène existe aussi, notre situation d’analyse
se trouve sur la couche épidermique du globe. Et là l’homme décrète qu’il y a attraction, Erreur ! Nous sommes centralisés par l’image d’un précipice vers le vide, comme à l’origine
et non pas attirés. (Pardon à Isaac Newton) mais il faut reconnaître que nous sommes bien poussés vers le centre. J’ai eu quelques discutions sur le sujet, et la question qu’ils m’ont posée ; où
est la différence ? Ça ne change rien à l’attraction. Je suis désolé, mais il y a un monde qui sépare ces deux analyses. Si je prends l’exemple de ma masse (matière cosmique) qui fait 70 kg.
Je ne pèse pas, parce qu’on me tire par les pieds, cela voudrait dire que je serai plus léger que l’air, c’est-à-dire être attiré par le noyau magnétique de la Terre, c’est une ineptie !
Je pèse 70 kg parce-que on m’appuie sur la tête. Le phénomène de poids vient bien de la périphérie ou de l’extérieur et non pas du centre de la Terre. Celui- ci subit des forces extérieures
convergentes tout simplement.
Le soleil depuis sa création, par la fusion forcée des deux noyaux nucléaires, va instrumentaliser un phénomène inverse à celui d’une
planète. Il ne centralise pas sur son centre il va extérioriser. Depuis le soleil est un noyau à vent ouvert ! (une étoile) qui dessine une dimension réelle dans l’univers, celui-ci va créer
sa périphérie de vide et de matière cosmique. On peut se poser la question, si le soleil fait matière de quoi se nourrit-il ? Et bien tout simplement du vide « alimentaire ! », il est un glouton de
cette énergie ! Il se porte bien, il profite toujours.
Comment se sont pétrifiées les quatre planètes de proximité du soleil ? Les scientifiques disent que la matière
cosmique vient des étoiles. Pourquoi aller chercher ailleurs, nous avons déjà la notre. La vie de notre étoile va générer de la matière cosmique, qui sera diffusée sur le niveau de son l’écliptique.
Imaginez votre regard sur la planète Saturne. Et bien pour le soleil, même si la situation est différente, il y a une similitude d’image avec un anneau. La matière cosmique étant attirée par les vides des planètes
gazeuses, jusqu’à la lune Martienne. Elle abonde de manière expansive, au point de pétrifier ces bulles gazeuses en planètes telluriques.
La planète Mars !
Après son premier big-bang, le second lui fut fatal ! Nous pouvons considérer que c’est le deuxième événement fort, après la création du soleil. Je reviendrais sur cet événement. Mieux
vaut étudier la dualité Soleil plus Terre, étant donné de notre situation de vie est terrestre !...
Nous connaissons le temps orbital de notre planète autour du soleil;
365 jours 6heures +/- secondes. La question ; pourquoi ? Alors avant d’étudier un trou noir qui n’existe pas et qui n’a place que dans l’univers du cerveau de l’homme. Essayons donc, de répondre à
cette question.
Avant tout, il faut bien dissocier les mouvements, c’est-à-dire le mouvement solaire (l’orbite) et le (les) mouvements Terrestres qui sont ; la rotation sur elle-même
en 24 heures et l’obliquité de 23°3. Il faut préciser que situation est postérieure, au système solaire. À l’origine cette planète qui fut gazeuse, sa perpendiculaire était parallèle
à celle du soleil. Avec la combinaison de ces mouvements (solaire et terrestre) celle-ci est devenue tellurique, par l’abondance de poussière cosmique de notre étoile. C’est l’expansion !
Donc à un moment dans l’univers il y eu le big-bang terrestre ! Le troisième événement du système solaire ! De ces deux mouvements, nos scientifiques n’en feront qu’un !
Et c’est une erreur, et je le démontre !
Au début de l’harmonie des temps, solaire et terrestre, les saisons étaient linéaires, étant donné qu’il
n’y avait pas d’obliquité. Par cette situation, il y eut un relief équatorial de poussière cosmique (tellurique) qui laissait apparaître, un support qui s’étendait entre les tropiques du cancer et du capricorne
aujourd’hui. Deux océans ; l’un au nord entre ce continent équatorial et les glaciers de l’arctique, et pour l’autre, entre ce même continent et l’antarctique du sud. Le jour durait six mois
et la nuit six mois, dans le cas où la terre ne tournait pas sur elle même, pour une révolution de 360° autour du soleil. La révélation de cette vision, c’est que sur une année de révolution,
dans le sens contraire des aiguilles d’une montre autour du soleil, et bien par effet de conséquence, la terre fera un tour rétrograde. Cette énigme qui compliqua la vision de Johannes Kepler 1573– 1630, il avait résolu
le problème par une ellipse, encore pardon à cet homme. Parce que l’ellipse n’a plus lieu d’être !
Je pense que le vide cosmique issu du cœur du soleil, possède
la mémoire de la création. A cette époque la vie était surdimensionnée, à ce que nous pouvons constater de nos jours. « Ce phénomène pourrait être lié avec la rotation de la terre
sur elle-même, plus elle tourne plus on pèse (**) ». Et puis le jour arriva, pour une remise en question d’un programme, sur Terre.
Les quatre planètes telluriques
sont toujours en pleines expansion de matière, et notre terre a saturé de cette matière cosmique. En plus le phénomène big-bang terrestre fut anticipé pour raison de surabondance matière issue de la planète
Mars. La terre a rejeté une partie de matière par le canon lunaire, se trouvant au centre de l’espace qui fait le pacifique aujourd’hui. Cette force engendre des paramètres nouveaux de (rotation, inclinaison) La croûte
terrestre, de sa surface jusqu’au noyau liquide, en passant par le manteau, c’est inclinée de 23°3 et enclenche un mouvement de rotation sur elle-même. Je pense que le phénomène qui entretien cette rotation appartient
aux oppositions, du (vide) noyau dure magnétique originelle face à la matière du manteau cosmique (tellurique). L’harmonie de frottement s’exerce sur le noyau liquide. Il y aura donc une concurrence d’énergies
pour entretenir ce moteur !
La terre par cette force bigbantesque, a subit une rupture entre l’hémisphère nord et sud, à la limite de perdre la vie définitivement, par chance
le noyau est resté intact. Nous pouvons le constater aujourd’hui, que tous les abords des océans sont bardés de lave refroidie, ce qui témoigne que la terre fut, des océans de feux pendant un temps
relativement court, avant le refroidissement et de devenir aquatique. La montagne de ce cataclysme c’est retrouvée dans l’univers de proximité de notre globe. C’est-a-dire à 380000 km ! Et oui la montagne est là
haut, celle qui fait notre satellite « la lune
(**) Le phénomène de la variation physique de la vie sur Terre, laisserait apparaître, que depuis
le big-bang terrestre, seule l’inclinaison serait originelle. Entre ce big-bang et aujourd’hui, nous avons dû subir au moins deux déluges globaux. La convergence de la vague fatale, a pris son essor au centre de l’océan
pacifique en passant entre les Amériques, vers l’atlantique pour un coté et de l’autre, vous tracez une ligne entre le Japon et l’ouest de l’Afrique, toutes ces régions sur 5 à 6000kmde large, ont été
ensablées, par les fonds marins. Je ne parle pas de tsunamis. Chaque déluge a dissipé une énergie égale au big-bang. Mais, la configuration laissée par ce big-bang, va sauvegarder la vie de notre
planète. Quand la planète est en phase de saturation cosmique, elle libère son énergie, par le canon lunaire du pacifique. (Je rassure ce n’est pas pour demain !). Donc de cet événement, la Terre va
prendre à chaque fois, de la vitesse en rotation par force est tangentielle. Ce qui pourrait répondre, à cette métamorphose du vivant. A chaque période, il y eut une relativité de la masse avec la rotation. Nous pouvons
imaginer remonter le curseur gamma de 9,81, 6,81 ou 3,81 pourquoi pas ! Je pense que si nous avions les mêmes caractéristiques pour vivre sur la lune, comme sur Terre, nous aurions un volume de cinq à six plus forts en étant
là haut ! C’est une vision extrapolée, mais qui pose question ! La mémoire d’ensablement de la planète est visible, par les photos satellitaires dans n’importe quelles revues. Ou tout simplement
le globe Google Earth ».
La conjugaison des temps !
Il ne faut pas mélanger les torchons et les serviettes. Le mouvement
solaire est une chose et le mouvement terrestre en est une autre. Le temps dans l’univers n’existe pas, son origine part du cœur de notre étoile. Ça c’est le vrai temps qui appartient au vide et à sa mémoire
de création. Ce temps est égal à 360° c’est-à-dire un tour orbital. C’est la mémoire et la main de Dieu (l’intelligence unique et indivisible). Les scientifiques veulent y découvrir autre chose,
comme la matière mystère !
Pour éviter de mélanger les genres, nous devrions dire ; mouvement à la place de temps. Ça nuancerait ce mot temps issu du soleil.
Et le temps terrestre, lui assume cette dimension par son origine. Son relief de visibilité est le fruit de l’intelligence universelle dans le cerveau de l’homme. Donc l’homme va étudier ce phénomène en planifiant :
Comme Albert Einstein, qui constatait la relativité entre l’espace temps et les volumes dans l’univers de proximité du soleil. Même si les planètes de nos jours ont subits une dissymétrie en volumes, il en demeure
pas moins, qu’à leur origine, elles avaient une masse relatives proportionnelle dans l’espace temps, avant d’être modifiées par la pétrification, de poussière cosmique et des big-bangs. Cet homme
avait raison.
Je fais donc une synthèse de cette conjugaison des temps ! Le temps du soleil est égal à « UN » tour, comme je l’ai cité à
plusieurs reprises, son unité est le degré géométrique, et que le temps terrestre serait le jour, il faut bien accorder une racine ou un point commun, pour résoudre l’équation ! L’homme
ajuste le temps orbital de 360° en 365 jours et 6 heures et quelques secondes. Même si le delta physique des chiffres, aurai pour preuve de faire du un sur un. Il n’empêche que le tour rétrograde causé par l’orbite,
sur une année existe bien, il faut donc le rajouter aux 365 jours, soit 366 jours. Ce tour rétrograde qui est difficilement observable sur le système solaire héliocentrique de Nicolas Copernic 1473 – 1543. Par contre il est
visible sur le système héliolinéaire. Je précise que les deux systèmes n’en font qu’un, seul le référentiel change, il faudra se référer sur l’explication
technique.
Quand, on dit qu’une année c’est 365,25 jours, cela supposerait que l’équation physique n’est pas terminée, par ce 0,25 j, il y a un tour de terre engagé qu’il faut finir. Une foi celui-ci
terminé, il achèvera son 366 ème tour.
Comme 0,25 j = 6 heurs = » 0,75 j = 18 heures, soit % 24 heures = » un jour.
Par
cette démonstration le résultat de 365 jours 6 heures +/- secondes, Johannes Kepler avait créé par son imaginaire, que l’ellipse musant la terre pendant son voyage autour du soleil, d’où le retard de 6 heures.
Par contre les 366 jours moins, 18 heures vont remettre le soleil au centre de son système. J’espère que je ne serai pas le seul à observer cette énigme, qui peut faire défaut chez les scientifiques !
Encore une erreur (attention toutes ces erreurs que je site, ne sont que critiques personnelles et n’engage que moi) Je suis sans doute le seul pour l’instant, à être convaincu de ces révélations !
Je reviens donc sur la planète Mars !
Comme je l’ai déjà écrit sur mon site « Un jour les scientifiques vont découvrir que
la planète Mars, n’est plus une planète ; C’est une Lune ! Au début je vous ai parlé de big-bang. Trop de circonstances convergent, vers une cause cataclysmique et fatale de la planète Mars.
La similitude physique de l’astre martien est plus proche de notre lune que d’une autre planète. Elles possèdent une centralisation très relative, dit (attraction) elle existe par la force
des choses. Un centre sans vie va se créer. La matière tellurique issue des big-bangs, qui ère dans l’univers. (Je considère cette matière comme une bulle d’aire dans un liquide qui ne serait pas tributaire de
forces d’énergies extérieures. L’expérience serait curieuse dans une station spatiale ; Une réserve d’eau en nourrice et lui injecter une bulle d’aire. Quelque chose me dit qu’elle se retrouvera
au centre). Et qu’elles sont les indices qui m’ont fait prendre cette décision. Déjà elle ne possède plus son cœur de vie (le noyau physique de vide) je pense que tous les astéroïdes qui se trouvent
entre Jupiter et la lune Martienne, sont les reliques du noyau. Toute la matière cosmique qui la composait est partie vers les confins Neptuniens. Les planètes gazeuses, de Jupiter à Neptune ont hérité de toute la tellurique
fragmentée par ce big-bang. Tous les satellites qui se sont formés, c’est de la matière Martienne. Même les anneaux, comme le celui de Saturne, est de la poussière cosmique régénérée qui forme
son écliptique. A mon avis, si on tient compte de la relativité, cette planète Martienne devait être beaucoup plus grosse que notre Terre et que la vie devait y régner.
Vous voyez
André que mon doublon me fait voyager dans un univers de proximité, et très loin du trou noir ! J’ai évoqué toutes ces choses, issues d’un délire de folie qui alimente l’imaginaire sous couvert
du réalisme. Je ne suis loin d’être un scientifique, je possède une scolarité du minimum vital ! Malgré cela une passion du hors sujet pour moi, que je travaille avec mes propres outils, d’ou l’incompréhension
des scientifiques...
Dans mon exposé, il y a des points sur lesquels il faudrait revenir. Je pense à l’ellipse de Johannes Kepler, la vision migratoire de la faune terrestre. (Voir
sur ce site), je suis un peu plus nuancé sur l’attraction de Isaac Newton, mais !...Tout dépend de la nature du vide ! et autres sujets...
Mon vœu serait que des personnes
comme les frères Bogdanov, malgré leur immersion scientifique, ils n’hésitent pas à déjanter le conformisme. C’est vrai que je ne pèse pas lourd face aux scientifiques. Mais ça m’amuse !
Je précise aussi que la conscience mal intentionnée, à l’égard de ces découvertes, marchera avec un caillou dans sa chaussure ; Fourny Claude